CLELIA • titre

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« Clélia Leotitia Deelights »

Ft Blake Lively ● 25 ans ● Serveuse dans un bar ● I'm not a ghost, I just want to kill them ● Americano-Irlandaise

Clélia est née et a grandi à Détroit dans le Michigan ♣ Son enfance fut banale jusqu’à ce que sa mère se fasse interner en hôpital psychiatrique ♣ Elle en a longtemps voulu à son père pour cela et même si elle a appris la vérité, elle continue de lui en vouloir ♣ Clélia adore voyager ♣ Dernièrement, elle a visité Paris ♣ Clélia croit dur comme faire aux fantômes et reste persuadée que c’est de leur faute si sa mère est devenue psychotique ♣ Désireuse de venger sa mère mais, aussi son adolescence gâchée par l’enlèvement de celle-ci, Clélia a longtemps étudier les fantômes dans l’optique de devenir chasseuse ♣ C’est au cours de l’une de ses nombreuses traques qu’elle a fait la rencontre d’un certain Matthew, d’origine Irlandaise tout comme l’était sa mère ♣ Elle est tombée sur son charme et tous deux ont convenu de profiter du temps de cette courte idylle ♣ Adepte des coups d’un soir, Matthew fut de loin la seule relation à long terme que Clélia a connu, l’ironie du sort c'est qu’elle ne dura que quelques mois seulement ♣ Ils se sont dit « au revoir » à l’aéroport et ont promis de garder contact mais, leurs responsabilités respectives ne les ont pas aidé à entretenir ce lien ♣ Avec le temps, chacun des deux est passé à autre chose ♣ Clélia rend visite de temps en temps à sa mère, à Détroit mais, refuse de voir son père qui a refait sa vie depuis ♣ Elle aurait une demi-sœur du nom de Siobhan ♣ Ses recherches l’ont mené à Armagh, ville natale de sa mère et berceau d’éléments étranges ♣ Elle est persuadée que cette ville l’amèneront peut-être à comprendre pourquoi sa mère voyait les fantômes ♣ Faute d’avoir hérité du don de sa mère, elle ne chasse que les classes 3 ♣ Clélia a dégoté un job de barmaid, ce qui lui est particulièrement utile pour filtrer les conversations en quête d’éléments intéressants, c’est fou ce qu’on peut obtenir d’un homme bourré !

« I'm not a bitch, i'm not superman, i'm a model.»

Don't worry, be happy !

Clélia est une jeune femme au comportement très contradictoire. Elle peut passer de la femme fatale à la femme enfant en une fraction de secondes tant et si bien qu’on l’apparente souvent à un chat sauvage, capable de docilité. Obsédée par la vengeance, cette jeune femme passe son temps à poursuivre les fantômes dans le but de les exterminer une bonne fois pour toute, cependant, plus le temps passe et plus la jeune femme s’oublie, préférant délaisser sa vie sentimentale au profit de sa vie professionnelle. Néanmoins, même si elle parait un peu rude, Clélia est tout de même capable de sensibilité, une sensibilité qu’elle cache derrière un masque de neutralité et pour cela, elle se révèle être une parfaite actrice !

Il est vrai que Clélia est souvent considérée comme une proie alléchante pour un homme mais, c’est souvent l’inverse. Ils ne viennent dans son lit que si elle le décide. A première vue, il est vrai qu’elle peut paraître fragile mais, que nenni, Clélia sait très bien se battre et en étonnera plus d’un en se débarrassant d’une armoire à glace sans la moindre difficulté. Elle est l'heureuse propriétaire d'une magnifique Mustang Shelby GT500, son bébé dont le coffre est rempli de choses nécessaires à la chasse mais, aussi de vêtements et d'autres choses toutes aussi vitales. Ceux qui disent qu'elle vit dans sa voiture ne sont pas loin de la réalité parce que lorsqu'elle ne trouve pas de motel, il n'est pas rare qu'elle préfère le confort de sa voiture.

« I'm not a looser, i'm not a barbie, i'm ..... me ?»

Once upon a times,...

Postée à côté de son paternel, Clélia observait la scène, impuissante et horrifiée, les yeux rougis par les larmes qui creusaient des sillons sur ses joues. Elle voulait la rejoindre mais, la pression de la main de son père sur son épaule l’empêchait de faire le moindre mouvement vers ce qui n’était plus que l’ombre d’une mère. En voyant cette dernière se débattre comme un Diable contre ces hommes en blouse blanche venus spécialement pour l’enfermer en hôpital psychiatrique, Clélia sembla enfin sortir de sa léthargie.

« MAMAN ! » hurla t-elle enfin, comme si la petite fille avait enfin retrouvé la parole. « MAMAN ! »

D’un geste de l’épaule, la jeune fille tenta de se débarrasser de l’étreinte de son père, en vain. Ce dernier ne semblait pas vouloir qu’elle s’oppose à cette scène qu’elle était pourtant obligée de regarder malgré son jeune âge, ce genre de spectacle qu’on épargne d’ordinaire aux enfants et pourtant, aucun de ceux qui se trouvait dans cette pièce ne semblait prêter attention aux séquelles psychologiques qu’il en découlerait probablement. Frustrée, Clélia laissa échapper un gémissement de rage, mâchoire crispée, poings serrées. De quel droit se permettaient-il de traiter sa mère ainsi sous prétexte qu’elle était « psychologiquement dérangée » ? Les cris que poussaient Mary-Ann commençait à lui devenir insupportable tant et si bien qu’elle desserra les poings pour venir plaquer ses mains contre ses oreilles, fermant les yeux par la même occasion pour ne plus à voir ce triste spectacle. C’est alors qu’elle sentit son père la prendre tout contre elle et si au début elle lui opposa une résistance d’ours en peluche, Clélia le repoussa rapidement puis, se mit à frapper son torse de toutes ses forces : c’était de sa faute si sa mère lui était retiré désormais… Il fallait bien un coupable.

« THIS IS YOUR FAULT !!! » scanda t-elle, une expression de dégoût affichée sur son visage.

Coupable de quoi ? Clélia n'en savait rien. Elle avait simplement prononcé cette phrase par désespoir parce qu'en fait, elle ignorait tout des circonstances qui avaient amené sa mère à devenir aussi étrange. De mémoire, les Deelights avaient toujours été très heureux dans cette ville de Détroit dans le Michigan. Ils formaient une famille très unie et heureuse comme en attestaient toutes ces photos accrochées sur les murs de leur foyer mais, en y regardant de plus près, il était vrai que les sourires de Mary-Ann sonnait étrangement faux… Comme si elle tentait de cacher un lourd fardeau qui pesait sur ses épaules, épaules par-dessus lesquels elle ne cessait de regarder d’un air inquiet, comme si elle se sentait épiée.

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Les années passèrent et Clélia dû supporter encore pas mal de temps la présence de son père qui n’en portait que le titre. Il avait refait sa vie depuis et ne se souciait pas mal de rendre visite à celle qui fut autrefois sa femme, sa fille supportait mal l’idée qu’il ait profité de la faiblesse de Mary-Ann pour divorcer sans même lui avoir rendu visite pour l’en tenir informé. Elle qui l’avait longtemps mis sur un piédestal parce que c’était son père ne le considérait plus que comme un lâche à l’heure actuelle, lâche qui de surcroît ne se gênait pas pour ramener d’autres femmes à la maison en espérant que l’une d’elles seraient « adoptée » par Clélia. Il se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au coude s’il croyait ne serait-ce qu’une minute qu’elle changerait d’avis à son sujet ! Elle s’en tenait toujours à ce qu’elle lui avait promis : dès qu’elle aurait l’âge pour le faire et l’argent nécessaire, elle partirait illico-presto. Aussi triste que cela puisse paraître, ce fut le décès de ses grands-parents dans un incendie qui lui permis de rassembler la somme nécessaire à la réalisation de ce rêve, elle était majeure et donc, pouvait aisément toucher l’héritage ce qui l’amena à effectuer une rapide escale en Irlande pour une signature. Ce court voyage lui avait suffit à tomber amoureuse du pays où elle comptait bien revenir un jour mais, pour l’heure elle se sentait investie d’une mission : celle d’éradiquer les fantômes de la surface de la Terre et ainsi de venger sa mère. En effet, un notaire lui fit parvenir une lettre de sa mère, écrite juste avant que les choses ne dégénèrent et dans laquelle, Mary-Ann relatait son don et s’excusait des gestes déplacés qu’elle avait pu avoir envers sa fille à l’époque.

Clélia entreprit un long périple à travers le monde, âgée d’une vingtaine d’années, elle peut se vanter d’avoir vu plus de choses que n’importe qui d’autre en si peu de temps. Plus les années passent et plus la jeune femme se perfectionne, elle excelle dans l’art du combat au corps à corps ou de la chasse aux esprits de classe 3, ceux qui sont pratiquement indissociables des humains lambdas. C’est au cours d’une énième chasse, qu’elle fait la rencontre d’un certain Matthew dans une petite ville du Kansas, Clélia n’avait eu aucun mal à remarquer son accent Irlandais et tomba rapidement sous son charme sans pour autant s’en emmouracher complètement. Si au début ils avaient convenu de s’en tenir à une relation sans lendemains, ils décidèrent rapidement de profiter de l’instant présent et de passer du bon temps ensemble jusqu’à ce que Matthew ne soit forcé de retourner chez lui et Clélia de partir de son côté pour chasser de nouveau. Bien qu’ils soient promis à l’époque de se donner des nouvelles, aucun d’eux ne respecta cette promesse pour la simple et bonne raison qu’ils avaient d’autres occupations qui primaient avant tout le reste.

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Aujourd’hui, Clélia en est toujours au même point. Elle chasse toujours les esprits de classe 3, déterminée à venger sa mère et les nombreuses expériences qu’elle a traversées l’on renforcé davantage tant et si bien qu’elle n’accorde plus de temps pour sa vie sentimentale. Ses recherches l’ont mené à Armagh qui se trouve être la ville natale de sa mère et –sans qu’elle ne le sache- celle de Matthew qu’elle risque de croiser de nouveau. Son physique avantageux et son comportement un peu rebelle lui ont permis de dégoter un job de barmaid qui se révèle être très précieux quand on fait un « métier » comme le sien. En essuyant des verres, Clélia apprend tout un tas de choses très intéressantes sur Armagh et ses habitants qui lui sont bien plus utiles que la lecture d’un journal.

« Moi dans la vrai vie je suis une tortue ninja !!!! »

Behind your Computer,...

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